Journée internationale des droits des femmes
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Il est pertinent, tout d'abord, de rappeler que l'on assiste trop souvent à des dérapages sémantiques et à des récupérations mercantiles dans l’interprétation de cette « Journée mondiale de luttes pour les droits de la femme » qui n’est pas la journée de la fâââme, encore moins la « fête » des femmes : c’est une journée de manifestations et de commémorations à travers le monde : l’occasion de faire un bilan sur la situation des femmes.
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Le 8 mars 2023 à Reims
Commémoration et conférence organisées ce jour
10h30 : dépôt de gerbes au monument aux infirmières, Place Aristide Briand
https://fr.wikipedia.org/wiki/Monument_en_hommage_aux_infirmi%C3%A8res_du_monde
18h : conférence -échanges : les droits des femmes africaines - santé, libertés, prises de position, médiathèque Laon-Zola, rue de la Neuvillette, en partenariat avec le comité de jumelage Reims-Brazzaville
https://www.reims.fr/a-la-une/une/journee-internationale-des-droits-des-femmes-1
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Dans les années 80, Yvette Roudy, alors ministre des Droits des femmes, écrivait : "j’aimerais, cela est vrai, qu’il n’y ait pas de 8 mars, de journée internationale des femmes. Cela signifierait qu’il n’y a plus de discrimination et donc plus de luttes, plus de revendications, parce que les comportements sont devenus égalitaires et que tous les citoyens peuvent exercer la plénitude de leurs droits" (...) C’est encore un rêve…