La moindre des choses, à défaut d'être heureux, est de garder le sourire. Le bonheur des autres ? N'étant pas du genre à tenir la chandelle, mais l'amertume ne vaut que pour son propre égoïsme. Alors célébrons simplement le bonheur, celui des autres.

Il y a une chose qui n'est pas si courante et je m'adresse à ces couples rares, rares sont ceux qui sont vraiment heureux d'être ensemble. Alors, c'est sûr, nous sommes dans une société qui prône le bonheur de soi avant tout, une société qui se veut rebattre les cartes et qui rend "l'homme" obsolète, si obsolète qu'il en devient absent, y compris de ces groupes de coaching et insertions professionnelles exclusivement ouverts aux femmes. Point d'anti-féminisme dans mon propos parce que pour autant la femme devient elle aussi dépassée, elle aussi s'efface derrière ce devoir de défendre ses droits... le droit de ne pas être réduite à l'identité du genre. Ainsi, notre époque nous dit qu'une femme n'est pas une femme, qu'un homme n'est pas un homme, et que le couple lui-même n'a pas de sens. Nous sommes libres, totalement libres de n'être que des passages, pour ne dire des passades, et pour d'autres des passe-temps. Mais ne faire que passer le temps dans le temps qui passe, c'est laisser s'écouler le temps sans jamais pouvoir le rattraper. Chaque seconde qui passe est à jamais perdue.

Que ton coeur choisisse, que ton âme sache ouvrir les yeux pour que tu n'aies pas le sentiment de perdre ton temps, car c'est le tien et il est précieux. Ou pour le dire autrement, et bien qu'à toute période avons-nous connu tous au moins un temps où nos amours étaient asséchés, si d'aventure le printemps devait renaître, et même si ça ne se choisit pas, même si ça nous tombe dessus, vient un temps où le vécu te permet de "voir", de savoir ce que tu ne veux plus connaître. A ceux qui connaissent ce sentiment de vide, un manque à l'existence, choisissez bien, à toi peut-être, choisis bien, choisis avec qui tu choiras de passer le temps, ou bien ne choisis pas, ne choisis pas celui avec qui du premier jour, celui du reste de ta vie, le temps se perdra à jamais.

Comme un parfum, celui des amants, des amours, à toute éternité... foutus jusqu'au bout. Accepter cette idée, celle de tout perdre, c'est vivre plus intensément pour donner, se donner, pour aimer. L'amour se trouve partout où l'on regarde, si tenté que l'on sache regarder avec le coeur.

Auteur : Catleya  

Un ptit rapport quand même avec le sujet, et sans grand étonnement :

www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-chronique-de-tristan-lopin/tristan-lopin-n-a-pas-compris-du-mardi-28-mai-2024-3258429

À part ça...

Alors, si Valentin n'est pas si "Saint", toutes les Valentines ne méritent pas pour autant le prix Nobel de la Paix.

Auteur : Catleya  

Comme s'il n'y avait pas parmi les célébrités des criminels ô combien plus "détestables " que cette "Valentine"...

La manipulation de l’opinion par des concentrés de beaufitude misogyne continue donc bien après ce verdict immonde.

Si tu pouvais cesser de te donner toutes les raisons du monde de trouver en chaque homme un misogyne qui sommeille (vraiment n'importe quoi), tu auras avancé, ce que je te souhaite. Le discernement permet aussi de faire abstraction du genre afin de ne pas tout ramener à cela. De plus, du coup je me permets de te dire que vis à vis de mon écrit : tu es hors sujet.

Auteur : Catleya  

Non, pas "en chaque homme" mais en toi, oui, et qui ne "sommeille même pas"
Hors sujet ? Non. N'importe quoi. J'ai réagi à ton "Point d'anti-féminisme dans mon propos" parce que par ailleurs, dans un topic aujourd'hui disparu et sur une bonne demi-douzaine de pages au moins, tu as participé sur ce forum et activement au bashing ultra masculiniste contre celle dont il s'agit dans mon post initial, avec une hargne sans pareille, la désignant comme une "harpie" (et ce n'était pas la moindre de tes injures contre elle).
Tu as aussi très souvent minimisé, voire nié les violences dites "sexo-spécifiques", i.e dirigées contre des femmes parce qu'elles sont des femmes.
Ça ne s'oublie pas, quand bien même tu dénonces la taxe rose...

Quelques liens pour rappels :
www.francetelevisions.fr/et-vous/notre-tele/a-ne-pas-manquer/la-fabrique-du-mensonge-affaire-depp/heard-15727

madame.lefigaro.fr/societe/actu/et-si-le-monde-s-etait-trompe-sur-amber-heard-20230216#Echobox=1676559350

www.terrafemina.com/article/proces-johnny-depp-amber-heard-serait-la-personnalite-la-plus-detestee-au-monde-et-la-misogynie-est-totale_a370839/1

Alors ta dénégation de ton antiféminisme...

Et voilà, c'est bien ce que je disais, tu ne peux t'empêcher de m'assimiler, moi (?) à tout ce que tu opprimes et détestes, tu m'assimiles, moi, à ce que tu réprouves sans réellement me connaître, tu projettes, tu transfères, en fait que suis je à tes yeux dans ce cadre ? Un réceptacle, ni plus ni moins. Les violences sexospécifiques, nié, minimisé ? Foutaise. D'autant que j'ai moi-même déjà subi ce type de violence, y compris venant de femmes mais je ne suis pas neuneu, ce n'est pas parce qu'une femme me méprise et m'agresse que je vais tirer la conclusion que "C'est normal, c'est une femme"... absolument pas. Pourtant, cela peut arriver.

Situation concrète comme exemple :

Je participe à une prestation d'insertion professionnelle afin de "valoriser mon image professionnelle". Un après-midi c'était "simulation d'entretien". Une intervenante extérieure doit mener ces entretiens, nous étions un groupe d'une 10ène de personnes. Un chouette groupe, bonne entente y compris avec la (jeune) consultante qui encadrait le groupe et qui me proposait pour son association de lui réaliser un logo mais c'est pour la parenthèse et pour signifier qu'elle appréciait mon travail (elle n'avait pas le budget nécessaire, malheureusement. Je lui proposais sous le seuil des tarifs du marché pour lui faire un geste, mais je n'allais pas lui donner, car cela n'aurait pas été formateur pour elle). Donc, arrive cette simulation d'entretien avec l'intervenante extérieure : une responsable de boite d'agence intérim.

Sa posture : distante, austère, "faussement" autoritariste. Je dis bien faussement car cela se ressent bien que c'est un rôle. Je trouve cette attitude obsolète. Après, pourquoi pas, je suis très ouvert d'esprit et souple de caractère (tout en étant extrêmement tenace et déterminé) je me dis sur le coup que ça fera travailler un peu mon assertivité. La jeune consultante (qui me tutoyait déjà, à sa demande, avec mon accord bien entendu) me fait savoir en douce que mon CV ne lui a pas plu. Cela m'importait peu que cette prestation était pour moi de moindre importance. Et cela ne m'étonnait pas, c'est une personne issue d'une vision de société de type bureaucratique et qui considère que tout ce qui sort des clous est de facto mauvais. Vision des années 80/90, ce type de personne ne sait pas évoluer avec son temps.

Cette personne lors de la simulation d'entretien (qui se déroulait devant tout le groupe, chacun notre tour, ce qui permettait de débriefer). Elle me lance d'abord alors que j'attendais qu'elle m'appelle, tenant mon cv d'un dédaigneux : "Je n'aime pas votre domaine !" avec toute la condescendance qui était la sienne. Soit, je n'oblige personne à aimer le domaine que je présentais (et représente) mais contextuellement, c'était une attaque GRATUITE. Bon, on peut se dire que ça fait partie du jeu, mais par la suite j'ai compris que non, non, elle s'en prenait vraiment à moi. Durant le débriefing m'a fait savoir que, et là accrochez vous : ma TÊTE ne... PASSE PAS (sic !!!) par élégance je vous ferai grâce de ce que je pensais alors de la sienne. Son attitude m'indiquait qu'elle ne devait pas souvent se regarder dans le miroir. Que ma tête ne passait ni en présentiel, OSANT ajouter pas même en distanciel. Tout ça devant les autres, bien sûr, et j'étais le seul qu'elle prenait à partie de la sorte. Précision : elle ne me connaissait absolument pas et mon comportement était IRREPROCHABLE !

Je vous passe les autres phrases assassines de lancées. J'ai bien entendu mis fin dans le fracas à cette mascarade et suis sorti de mes gonds, j'ai claqué un scandale ce qui a précipité la fin de cette simulation d'entretiens qui n'était en réalité en rien une simulation.

J'ai mis du temps à comprendre pourquoi. En fait, j'ai réalisé ce que je représentait pour elle : un concurrent d'une part, et un prestataire probablement trop cher pour elle d'autre part. ET comme si vous voulez j'étais (à ma demande) orienté par Pôle Emploi (oui c'était contextuellement Pôle Emploi, pas France Travail), elle a voulu me descendre en se payant ouvertement ma tête. Et oui, c'est le jeu des lois du marché : un monde ultra compétitif qui peut rendre certaines personnes toxiques : ce qu'elle était.

Ai-je assimilé son comportement déplacé au fait que c'est une femme ? Si je fais part de cette anecdote, c'est néanmoins pour indiquer que la bêtise est humaine et que ce type de personne préfère se retrancher derrière leur propre ignorance, souvent bien plus confortable.

Elle m'a inspiré les aventures de "La vieille bique" représentant la responsable ou RH pour illustrer les mauvaises attitudes mais surtout dénoncer les mauvaises mentalités. Pour dire simplement : "Ne soyez surtout pas cela !", une façon de dénoncer les comportements toxiques dans les milieux d'insertion surtout. Pour contribuer à casser les postures stigmatisantes et humiliantes qui ne font en rien avancer la société.

Auteur : Catleya  

Je ne savais trop où placer ma découverte récente de cette infamie : "la célébrité la plus détestée au monde". Comme il était évident que cette nouvelle réactivait le souvenir d'un acharnement masculiniste de masse inouï contre cette femme (parce que c'est une femme, une "sorcière", une "harpie", une "hystérique" [sic] ), j'ai écrit mon post dans cette rubrique. En guise de réponse à ce (en substance) : "je ne suis pas antiféministe mais" et pour rappeler que si, tu l'es largement. Les preuves en ont abondé sur des pages et des pages du forum, je ne suis pas une menteuse et ceux qui te lisent peuvent avoir aussi de la mémoire.

J'ai "commis" un hors sujet en grande partie, certes, mais tu es toi-même très mal placé pour me le reprocher, ayant bien fréquemment détourné des sujets pour parler de toi, ramener bien des choses à ta personne, à ton vécu.

Les cas personnels, les anecdotes ne m'intéressent pas. J'ai cessé de te lire à partir du moment où c'est devenu, une fois de plus, longuement autobiographique.