La politique, comme le football, est devenue un vrai défouloir. Consolons-nous en chantant, comme Zaho, qu'il fait toujours beau au-dessus des nuages et avec quelques blagues.
Le pauvre ex-député Renaissance, qui vient de pointer au chômage, demande à Macron : t'aurais pas dix sous ?
Le pauvre Président, comme Sardou, reproche à la France de l'avoir laissé tomber.
Cette année on attendra pas Noël pour voir le petit renne, en juillet on aura le grand RN.
Mais avant cela, on va nous laisser mariner encore quelques semaines.
Raphaël Glucksmann peut chanter comme Lama : je suis cocu mais content.
Françoise Hardy, en parlant du Front Populaire, pourrait ironiser : el la main, dans la main...
Bordella, comme Pagny, déclamerait :
Si tu veux m'essayer
Même quelques semaines
Si tu veux m'essayer
Il faut voter Le Pen
Pour la belle Marion ce serait
Tata Marine
Elle est vraiment yoyo.
L'extrême-droite s'est diabolisée à temps de peur que le diabolo mente.
Le LR n'a pas attendu la loi sur la fin de vie pour s'auto-euthanasier (merci Chiotti)
Edouard Philippe clôturerait le bal en reprenant "Il y a qu'un cheveu sur la tête à Mathieu", surpris qu'on le surnomme allocépire.
Je précise que tout (le bon et le pire) est vraiment de moi et espère n'avoir heurté personne.