Des siècles durant, peu de femmes se sont exercées à la pensée philosophique : on en a conclu que la philosophie elle-même relevait du genre masculin. On a imaginé que les femmes-philosophes méditeraient sur des chiffons, inventant l’amour universel qui gouvernerait l’Univers.
Les femmes ont incarné la faiblesse et la sujétion aux émotions, peu compatibles avec une pensée philosophique virile et fière d’elle-même
Et aujourd’hui ? Devant la profondeur des pensées élaborées par des femmes, dirons-nous encore que la philosophie a un sexe ?
Présenté par Didier martz et Jean-Pierre Hamel, Philosophes
Entrée libre et gratuite. Ouvert aux non-philosophes